Mardi 22 juin 2 22 /06 /Juin 17:44

 
    
      
Lorsque ma Maîtresse décidait de me punir, elle choisissait son instrument de punition selon la gravité de la faute commise. Les fautes qu'elle estimait bénignes ne méritaient qu'une dizaine de coups de cravaches ou de martinet, sévèrement appliqués sur mes fesses mais tout à fait supportables. Par contre, lorsque ma Maîtresse relevait une faute plus significative, j'étais alors puni avec un fouet, qu'elle choisissait en fonction du châtiment à m'infliger, les fouets les plus longs et les plus fins étant réservés aux actes de désobéissance flagrants et aux fautes qu'elle jugeait "graves". Dans ces cas là, le rituel était souvent le même. Les yeux bandés et rendu muet par un baillon-boule, je restais debout face à elle tandis qu'elle m'entravait les poignets avec une cordelette puis enroulait une corde blanche plus épaisse autour de mes liens. Ensuite, elle me suspendait par les poignets, passant la corde dans un anneau solidement fixé au plafond et tirait de toutes ses forces vers elle jusqu'à ce que je sois contraint de lever mes talons. Parfois, elle m'imposait une barre d'écartement aux chevilles qui m'obligeait à écarter les jambes, rendant mon équilibre plus instable encore. Puis ma Maîtresse quittait la pièce, me laissant seul une dizaine ou une vingtaine de minutes.
    
     A son retour, en général, je commençais déjà à gémir et à ressentir une douleur lancinante dans tout mon corps en raison des tensions exercées par les liens. Mais je savais que cela n'était rien en comparaison de ce qui allait advenir. Elle commençait généralement à s'échauffer avec son fouet, le faisant claquer à quelques centimètres de moi puis sans avertissement me donnait un premier coup qui me faisait sursauter à chaque fois. Après quelques interminables secondes, un deuxième coup donnait le signal de départ d'une très longue série. Tel un serpent, le fouet s'enroulait sur mon torse, mon ventre ou mes fesses, laissant après son passage une marque rouge et brûlante. Aveuglé, j'étais dans l'impossibilité d'anticiper le coup suivant et m'agitais en vain comme un pantin désarticulé, incapable de me dérober aux morsures cruelles de la lanière de cuir. Ma Maîtresse, inplacable, ignorait mes supplications étouffées par le baillon, et poursuivait le supplice jusqu'à ce qu'elle estime que la leçon avait été suffisamment assimilée. Lorsqu'enfin, elle posait son fouet pour venir me libérer, j'étais dans un état second, les jambes flageolantes et le corps chancelant. Elle me retirait le baillon et le bandeau, détachait la corde et la descendait précautionneusement. Elle m'agenouillait ensuite sur le sol et ôtait les liens qui me comprimait les poignets puis dirigeait ma tête vers ses chaussures. Je les embrassais et disait simplement : "merci, Maîtresse".

 

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Par slave.male
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Commentaires

Un fantasme ? C'est toi qui as écrit ça ?
commentaire n° :1 posté par : Reine le: 23/06/2010 à 13h29
j'avoue bien humblement que je n'ai pas ecrit ce post...mais j'en aime l'etat d'esprit...subir pour sa Maitresse...meme si je ne suis pas un pur masochiste
commentaire n° :2 posté par : slavemale le: 24/06/2010 à 13h24
Je pense, que j'adorerais ces punitions, par le fouet.
J'en ai eu, mais de moindre importance!.
commentaire n° :3 posté par : blousegrise le: 27/02/2012 à 15h34
C'est vrai que c'est tentant mais quelques coups bien placés oui ça le remet en place mais là ...
commentaire n° :4 posté par : karine le: 03/06/2014 à 15h40

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